Historique de Tintagel Winds
Les débuts...
L'été chaud de 1957 : le coup de foudre ! Invitée avec ma famille à faire le tour de l'Angleterre sur un très grand voilier, l'ambiance entre les êtres humains était tendue, mais sur ce bateau se trouvait un chien.
Il s'appelait MON DOG, (prémonitoire) il était grand, noir, peut-être beau, très sûr de lui mais parfaitement discret : LE CHIEN PARFAIT, UN LABRADOR ! Je suis tombée amoureuse donc pour la première fois à l'âge de 13 ans et ce fût le seul et unique grand amour de ma vie.
L'été chaud de 1975 : je revenais de l'Angleterre avec une petite boule de poils jaune : HONEY, et vraiment aucune idée de faire l'élevage. C'était la chienne des enfants. Vers l'âge de 5 mois, notre petite Honey s'est mise à boiter et nous avons entendu pour la première fois le terme Dysplasie de la hanche. Grâce à elle, et à cause de son infirmité, nous nous sommes mis à la recherche d'une nouvelle chienne en attendant le jour où une décision radicale s'imposerait pour la première.
Cette fois-ci, j'ai travaillé dans les règles de l'art. J'ai contacté plusieurs clubs de Labradors en Angleterre (où il y en a 14) j'ai écrit à des éleveurs dont les chiens me paraissaient les plus proches de mon idéal. J'ai acheté des livres, j'ai visité des élevages et j'ai fréquenté des expositions. J'ai arrêté mon choix (cela s'appelle avoir plus de chance et d'intuition que de réelles connaissances) et 18 mois plus tard je suis partie en Angleterre chercher Ballyduff Sunflower et Kupros Lucifer, tous deux nés en 1977.
L'été chaud de 1957 : le coup de foudre ! Invitée avec ma famille à faire le tour de l'Angleterre sur un très grand voilier, l'ambiance entre les êtres humains était tendue, mais sur ce bateau se trouvait un chien.
Il s'appelait MON DOG, (prémonitoire) il était grand, noir, peut-être beau, très sûr de lui mais parfaitement discret : LE CHIEN PARFAIT, UN LABRADOR ! Je suis tombée amoureuse donc pour la première fois à l'âge de 13 ans et ce fût le seul et unique grand amour de ma vie.
L'été chaud de 1975 : je revenais de l'Angleterre avec une petite boule de poils jaune : HONEY, et vraiment aucune idée de faire l'élevage. C'était la chienne des enfants. Vers l'âge de 5 mois, notre petite Honey s'est mise à boiter et nous avons entendu pour la première fois le terme Dysplasie de la hanche. Grâce à elle, et à cause de son infirmité, nous nous sommes mis à la recherche d'une nouvelle chienne en attendant le jour où une décision radicale s'imposerait pour la première.
Cette fois-ci, j'ai travaillé dans les règles de l'art. J'ai contacté plusieurs clubs de Labradors en Angleterre (où il y en a 14) j'ai écrit à des éleveurs dont les chiens me paraissaient les plus proches de mon idéal. J'ai acheté des livres, j'ai visité des élevages et j'ai fréquenté des expositions. J'ai arrêté mon choix (cela s'appelle avoir plus de chance et d'intuition que de réelles connaissances) et 18 mois plus tard je suis partie en Angleterre chercher Ballyduff Sunflower et Kupros Lucifer, tous deux nés en 1977.
Depuis cette époque, bien sûr nous avons ajouté d'autres chiens, et d'autres chiens encore, tous sont liés par le sang et/ou par le type. Notre élevage s'est agrandit tel un puzzle où la couleur et la forme doivent être parfaites pour composer un ensemble de façon harmonieuse. La place et l'utilité de chaque 'pièce' est uniquement en fonction des autres et de l'ensemble et du but final recherché.
Le but....
Le plus simple et paradoxalement le plus difficile : faire des Labradors complets, beaux, bons, équilibrés, en excellente santé, gentils, intelligents et capables d'un travail exemplaire non seulement à la chasse et en Field-Trials mais dans tous les domaines où nos chiens sont appelés à seconder l'homme.
Pas un chien réussi sur dix mais dix réussis. Elever un jour, peut-être, LE LABRADOR PARFAIT et pouvoir se dire à la fin que NOUS AVONS AMELIORE LA RACE. Tout simplement.
Felicity Leith-Ross
Mai 2002
Le but....
Le plus simple et paradoxalement le plus difficile : faire des Labradors complets, beaux, bons, équilibrés, en excellente santé, gentils, intelligents et capables d'un travail exemplaire non seulement à la chasse et en Field-Trials mais dans tous les domaines où nos chiens sont appelés à seconder l'homme.
Pas un chien réussi sur dix mais dix réussis. Elever un jour, peut-être, LE LABRADOR PARFAIT et pouvoir se dire à la fin que NOUS AVONS AMELIORE LA RACE. Tout simplement.
Felicity Leith-Ross
Mai 2002